Sydica : la révolution numérique qui redéfinit l’économie créative africaine

L’Afrique créative entre dans une nouvelle ère. Avec Sydica, la plateforme technologique imaginée par Charles N’Guessan, fondateur de SYITECH Group, l’industrie culturelle se dote enfin d’un outil capable de structurer, sécuriser et propulser les talents du continent. Streaming, distribution, gestion des droits, investissements, sécurité sociale : Sydica propose un écosystème inédit, complet et transparent, résolument taillé pour l’avenir.

Pendant des décennies, le potentiel culturel africain a été freiné par un déficit criant d’infrastructures technologiques adaptées. Outils dispersés, absence de traçabilité, opacité des revenus, manque de protections sociales pour les artistes : le secteur évoluait dans une fragmentation limitant sa croissance. Pensée comme une plateforme intégrée, Sydica rassemble dans un même environnement :

• Le streaming sécurisé des œuvres
• La distribution physique pour une meilleure présence sur les marchés
• La gestion complète et transparente des droits d’auteur
• La création d’un wallet d’artiste, véritable porte-monnaie numérique relié aux revenus, à la sécurité sociale et à l’investissement
• L’accès à des services financiers innovants (micro-crédits, assurance, outils d’épargne)

Cette approche globale offre enfin aux artistes, producteurs, labels et institutions un outil robuste, fidèle aux standards internationaux, mais surtout conçu pour les réalités africaines.

Pour garantir une gouvernance irréprochable, Sydica s’appuie sur des partenariats institutionnels stratégiques, scellés lors de son lancement officiel.

·        BURIDA – Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur : Pour la gestion légale, la valorisation et la traçabilité du catalogue des œuvres.

·        SA2IF – Société de Gestion et d’Intermédiation : Pour permettre aux artistes d’investir à la BRVM via leur wallet Sydica et financer leurs projets artistiques.

·        ADEC / FineoPay : Pour intégrer des solutions digitales financières innovantes adaptées aux artistes.

·        CNPS – (en finalisation) : Pour offrir aux créateurs sécurité sociale, protection et droits sociaux.

C’est une première en Afrique

Jamais une plateforme culturelle n’avait été aussi loin dans l’intégration des systèmes de protection et d’investissement au service d’une filière. Pour Charles N’Guessan, l’ambition est claire : « Structurer, sécuriser et valoriser l’économie de la création – pour que chaque artiste puisse vivre pleinement de son art. »

Avec Sydica, les artistes disposent désormais de revenus directs, traçables et protégés ; d’une sécurité sociale et de garanties professionnelles ; d’un accès à l’investissement via des produits boursiers ; de financements nouveaux pour leurs carrières ; d’un suivi global, de la création à la monétisation.

Cette plateforme ne se contente pas de digitaliser l’existant : elle transforme profondément le modèle de rémunération artistique. Au-delà des artistes, elle structure toute une chaîne de valeur : labels et producteurs gagnent en visibilité et transparence, distributeurs accèdent à un marché mieux organisé, institutions renforcent leur gouvernance culturelle, investisseurs trouvent un secteur plus lisible et fiable, États bénéficient d’un outil de formalisation et de lutte contre la contrefaçon.  Sydica devient ainsi un accélérateur économique dans un secteur culturel africain qui pèse déjà plusieurs milliards de dollars mais reste largement informel.

Une vision : faire entrer l’Afrique culturelle dans la 4ᵉ révolution industrielle

L’innovation bâtie par SYITECH Group repose sur une conviction forte : la créativité africaine ne manque pas de talent, elle manque d’outils. Avec Sydica, Charles N’Guessan offre une infrastructure numérique capable de protéger les œuvres, stabiliser les revenus, créer de la valeur, attirer les investissements, professionnaliser la filière, faciliter les exportations culturelles et stimuler la compétitivité artistique africaine.

L’Afrique devient ainsi productrice de solutions technologiques, et non simple consommatrice. « Sydica marque l’entrée de l’Afrique dans une nouvelle ère. Ce n’est pas seulement une plateforme : c’est un signal fort envoyé au monde », confie un promoteur culturel ivoirien présent lors du lancement officiel. Et d’ajouter : « C’est une déclaration d’avenir. Le point de départ d’une économie créative plus juste, durable, transparente et pleinement compétitive à l’échelle mondiale. Sydica ouvre la voie. L’Afrique avance. Et le monde observe ce réveil. »

Un aperçu en images des étapes clés de cette signature stratégique